Mon travail débute très souvent d’une observation de mon environnement quotidien ou celui qui m’est proposé de « résidences d’artistes ».
En atelier, je développe ma recherche plastique, mon langage, laissant apparaître tantôt des matières, tantôt des transparences, des matités ou des brillances, le tout orchestré par le dessin.
Comment faire sourdre du sujet la peinture qu’il recèle ?
Ces paysages de Bretagne ou de Suisse sont naturellement autant de prétexte à la peinture.
Il me faut donc un dessin et un dessein pour espérer ma peinture.